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interne de hiéroglyphes du CFDRM
Dernière modification : lundi 15 avril 2019, 18:28
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Le dictionnaire interne de hiéroglyphes du CFDRM Prenez-le comme les pièces d'un puzzle que l'on commence à ordonner plutôt que comme un dictionnaire de référence et retenons cette phrase d'Umberto Eco p. 117 "L'encyclopédie est l'hypothèse régulative qui permet à l'intervenant de fixer (conjecturalement) la portion de dictionnaire qui lui est utile.". Nous parlerons davantage d'un lexique très général sans prétention à l'attention du CFDRM que d'un index universitaire, au même titre d'ailleurs que l'ensemble de nos dictionnaires, mais au regard des textes mettant en lien massage et Égypte ancienne ainsi que la relation privilégiée que nous entretenons avec l'égyptologue Richard-Alain Jean, il nous est apparu pertinent de constituer ce petit corpus de translations et de traductions. Comme les mots en égyptiens ne diraient rien aux utilisateurs habituels de cette page nous les remplacerons par les mots français mais accompagnés du hiéroglyphe correspondant et de sa translittération. La fonte hiéroglyphique est issue du programme JSesh que Serge Rosmorduc met à la disposition de la communauté des égyptologues. |
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Il
faut savoir que la translittération qui permet le glissement
d'une langue méconnue vers la prononciation d'une langue
commune compromet de fait l'intégrité formelle de
celle-ci. Le linguiste Marcel
Jousse avait créé le terme d'algerbrose
pour désigner la latinisation désastreuse des langues
orales. La traduction d'un glype en mot puis un mot en son donne
des résultats parfois plus que discutés
ce qui nous fait dire qu'une langue est non
fixée c'est-à-dire sujette
à variations, à interprétation, comme le sera
le français du XVIe siècle. Il faut savoir que plusieurs
hiéroglyphes peuvent servir à désigner un même
mot et les égyptologues ne sont pas toujours d'accords. Il
n'existe donc pas de transcription universelle des hiéroglyphes
qui soit unanimement reconnue donc ce n'est pas cette page qui va
changer quelque chose. Ici nous ne proposons qu'un répertoriage incomplet
touchant à notre domaine.
Les obstacles : ce n'est pas parce que deux signes juxtaposés forment un mot comme massage que mis ailleurs et accompagnés d'autres signes ils ne désigneront pas autre chose parce que le contexte aura changé. d-mdw = réciter (djed médou litt. lire les paroles ou, en introduction d'une formule magique "paroles à réciter") jn. Personne ne sait comment l'égyptien ancien se prononçait mais les égyptologues ont mis en place une prononciation conventionnelle regardes bien Lettre A Abeille, bj.t se prononce (bit). Amon, (Égypte) dieu égyptien. Entrée avec le massage développée dans le Dico des noms propres. Amulette, objets du quotidien
et funéraire que l'on portait comme un bijou dans les cheveux,
en collier, en boucles d'oreilles, en ceinture, en bracelets de
poignets ou de chevilles ou en bague pour, non pas tant détruire
les mauvaises entités que pour les repousser puisque pour
posséder un corps ils leurs fallait passer par une voie naturelle.
D'autres encore étaient plus thérapeutiques puisque
capables de soulager, parfois soigner, voir les guérir du mal qui les rongeait. Plus
prosaïquement, certaines de ces amulettes avaient pour fonction
de protéger son porteur des maux de son quotidien tels que
les chutes ou les attaques d'animaux sauvages, les morsures comme
le montre les représentations de déesse scorpion,
une mouche (mal vue dans cette Afrique où elle faisait des
dégâts) ou un crocodile. Le saou magicien
ou sounou Voir Comment bien choisir son amulette en Egypte
ancienne ? par Amandine
Marshall. Les matériaux dans lesquelles elles
étaient sculptées pouvaient agir sur le mal que l'on
cherchait à combattre en fonction de leur texture, de leur
couleur. Anubis, (Égypte) Translittération Hannig ?npw. à développer. Aisselle, (Dico d'anatomie) Raymond Oliver Faulkner la référence telle que Faulkner p. 181, Wb. III p. 204, 15-17. JEAN 2010 TDM p. 57 3.3) la cite. Lettre B Bassin, [consonne] translittération [correspond au son ch de chat] Code Gardiner : N37. Bitume, Mennen, (pour le rituel d'embaumement) voir (sefetj). Bouche, [consonne] Translittération
msr/r/r[r] resh
hébreu Code Gardiner :
D21. Bras (générique), Signification : — Lettre C Cadrat, Chouette, [consonne]ou, plus tardivementCôte d'animal [Aa15], translittération m [correspond au son m "en qualité de, comme..."] Code Gardiner : G17. Classification de Gardiner, méthodologie mise en place pour organiser les hiéroglyphes. Un lettre définie la famille à laquelle il appartient et le numéro correspond à l'ordre d'arrivée dans cette liste. Ci-dessous les familles qui nous concernent, sinon, voir les autres )
Cobra, [consonne] translittération [correspond au son d de dieu] Code Gardiner : I10. Coeur, aty, ou ib, le siège de la personnalité, de la mémoire
et de la conscience. Colonne vertébrale, et côtes. Dans La mère, l'enfant et le lait en Égypte ancienne, par Richard-Alain JEAN et Anne-Marie Loyrette, Ed. L'Harmattan 2010 TDM page 45 il est dit qu'elle peut être symbolisée par des signes comme F37, F38F39 etc jusqu'à 41. La vertèbre seule est la F139et les signes D157 et D 157 pour la partie de rachis pouvant être classé dans les représentations humaines. La colonne peut aussi être symbolisée par le pilier-djed représentée sous forme d'amulettes qui évoquait le rachis du dieu mort Osiris, Amandine Marshall dans Comment bien choisir son amulette en Egypte ancienne ? 6:12. Corbeille à anse, [consonne unilitère] se nomme kaf, translittération k comme castor. Son code Gardiner est : V31. CôteDescription : Côte d'animal, côté. Son code Gardiner est Aa15, M /gs /im /m. Associé au Verrou O34 cela nous donne oindre. Cou, wsr.t JEAN et Anne-Marie Loyrette, Ed. L'Harmattan 2010 TDM page 46 où ils abordent les différentes parties du cou et comment cela s'écrit en hiéroglyphes. Crible, corbeille ou placenta,[consonne unilitère] translittération [Le h cupule en égyptien dispose de quatre formes (h1, h2, h3, h4), celui-ci correspond au reu allemand comme dans achtung, on lui donne le code x mais celui de Gardiner est : Aa1.] Il s'agit d'un cercle ethmoïde ou présentant un cannage. Lettre D
Département d'égyptologie du CFDRM, voire dico des noms Propres. Dieux maléphiques, Seth, Khonsou , (répand les cancers Bardinet p. 37), Sekhmet, Lettre E
Lettre F Filet d'eau, [consonne unilitère]ou plus tardivementla couronne de basse Égypte translittération n parfois nt [correspond au son n] Code Gardiner : N35. Flan de colline, [consonne unilitère]appelé le qof, ou q correspondant au qaf arabe venant du fond de la bouche, code Gardiner : N29. Flasque, knkn. Déconstruction hiéroglyphique : N35V31Aa2 Jean/Loyrette, Éd. L'harmattan 2010 TDM p. 256 (Wb V, 134, 10). [Code de la formulation en présence selon le logiciel (JSesh) : V31:N35-V31:N35-Aa2] "Ne doit pas convenir pour désigner la flaccidité de la verge flasque ou de la peau mais concerne seulement les tissus sous-cutané je pense." R-A J.
Lettre G Ges, onguent, (pour
le rituel
d'embaumement).
Griffe, signe qui ne dispose pas de code mais désigne les ongles entrant dans la formation du mot manucure lorsqu'il est accompagné de l'oeil = jret qui signifie faire. Lettre H Hiéroglyphe, voir dico des noms communs : hiéroglyphes. Hyène, terme féminin qui se dit Hétjet avec ce hiéroglyphe correspondant au code E82. Dans Un massage obstétrical en Égypte entre la XVIIe et VIe dynastie chez Edwin SMITH (1822-1906), par Alain Cabello-Mosnier, 10/07/2018 chapitre - Sur la hyène développé à partir de Jean/Loyrette, Éd. L'harmattan 2010 TDM nous avons une masso entrée. Signe hors classification de Gardiner. Lettre I
Imhotep, ou Eimophth,(Égypte) mais entrée développée dans le Dico des noms propres. Ikhékhi, (Égypte) haut masso-personnage mais entrée développée
dans le Dico
des noms propres. Iwn-n-pt, lin. Lettre J Jambe, ou pied [consonne unilitère] translittération b [correspond au son b]. Code Gardiner : D58 Lettre K Khnoum, (Égypte), entrée développée dans le Dico des noms propres Khnoumhotep, (Égypte) . Entrée développée dans le Dico des noms propres. Nous disposons aussi d'un Dico hiéroglyphique. Khonsou, (Égypte), entrée développée dans le Dico des noms propres. Lettre L Les sept huiles, http://www.hierogl.ch/hiero/tpt#_2 twAwt huile touaout. Lien, ou entrave pour les animaux,désigne la consonne unilitère Trans. : IFAO t de tiers. Code Gardiner : V13 (var.V14).
Lettre M, en égyptien, la lettre M représente des vagues pour signifier en hiéroglyphe "l'eau (Filet d'eau)" qui correspond au code Gardiner : N35. Il se dit mem dans la langue du peuple sémitique. La lettre sera verticalisée en alphabet protosinaïtique vers -1700, avant d'être de nouveau allongée par les phéniciens vers -1000. Les grecs en font une version avec la jambe droite plus longue, les étrusques la copient et pour terminer, les romains lui donnent la forme que l'on connaît. Source Augustine Éditions . D'ailleurs, dans le pEbers 808. 95, 1-3, le symbole est utilisé pour écrire « Frictionner ». Ce qui est intéressant c'est que la sonorité "mem" correspond avec "même", ce qui en massage suppose le vis-à-vis, la similitude et enfin la symbolique de l'eau qui renvoie au bain, aux Massage par affusion. C'est aussi la première lettre de "mouvement", on ne peut plus essentiel pour nous.
Mèche de lampe, [consonne unilitère]dérivant probablement de Hat 'mèche', (gr.W22) translittération pointé [Le h en égyptien dispose de quatre formes (h1, h2, h3, h4), celui-ci correspond au son emphatique h de Mohamed], signifierait possiblement : chandelle, mèche Code Gardiner : V28. Met, se dit mt (prononcé
mèt) ou son pluriel Mtw metou (w=ou) terme
générique nommant les organes tubulaires, on parle
aussi de conduit-mt amenant
l'air ou les liquides eau/urine comme veines et artères, la trachée, l'urètre etc. Muscle, se dit mt (prononcé mèt) considéré comme un organe tubulaire plein. Bardinet, Ed. Khéops et musée du Louvre, 2018 TDM p. 61 chapitre Patients souffrants des conduits-mt et des extrémités des membres. Lettre N Neheh, huile, (pour le rituel d'embaumement). Netjerou, désigne les « dieux », les hommes se nomment remeth. Niankhknoum, (Égypte) , entrée développée dans le Dico des noms propres. Niousserre, 6ème ( (Pharaon d'Égypte), entrée développée dans le Dico des noms propres. Lettre O
Oeil, = Jret (à
lire iret)avec pour code
Gardiner D4, translittération
m/ir (bilitère) qui
devient le déterminatif des mots en relation avec l'action
de voir et l'organe de la vue et pour signification : œil, vision,
états ou actions de l'œil mais aussi de faire. Par exemple, l'oeil combiné avec la griffe permet la formation
de manucure. Oeil d'Oudjat ou l'œil d'Horus = Oudjat, . En 1911, l'égyptologue Georg Möller identifia à partir de documents du Nouvel Empire, que certains signes hiéroglyphiques pouvaient raisonnablement servir à mesurer des volumes de grains notamment l'œil d'Horus dit Oudjat.
Ouâb, de Sekhmet , (Égypte), entrée développée dans le Dico des noms communs. Ouam, Ounas, (Égypte), entrée développée dans le Dico des noms propres. Lettre P Pain, [consonne unilitère]désigne le principe de féminin, translittération t [correspond au son t]. Code Gardiner : X1. Peau, (Dico d'anatomie) (idem, op. cit. supra JEAN, LOYRETTE 2010 TDM p. 56). La peau en égyptien se nomme mais sa graphie dans le (pSmith 21. 3-6 det. D3) nous donne jnm. Le pEbers en propose une autre variante et le copte l'écrit nom B, (peau du corps). Selon les mouvements linguistiques, le type de peau concernée, {humaine, animale}, la formulation peut ainsi bouger. Peau semble aussi vouloir désigner les bêtes d'un troupeau comme nous parlons encore de tête. Per médjat, (bibliothèque
en égyptien). Bibliographie : Peret en ouân, (baies de genévrier). Peret c'est la sortie, c'est-à-dire la germination et ouân c'est le genévrier . L'huile de cade (sefetj per em ouân) issue du genévrier qui rentrent dans l'onguent précieux (merehet chepeset) & l'onguent de minéral divin (merehet net aât netjeret) du Rituel de l'Embaumement. Phallus, (Dico d'anatomie) D53 b/mt. [bAH] mais Bardinet p. 64 dit que phallus ne s'est jamais désigné sous le terme de mt. Voir testicule. D52 D52A D281 D282 D380 D390 D410 D410A Pied ou jambe, [consonne] translittération b [correspond au son b] Code Gardiner : D58. Placenta, JEAN, LOYRETTE 2010 TDM p. 329 "En ce qui le concerne, le placenta correspondant pour les Égyptiens au sang non encore utilisé pour la confection de la chair de l’embryon, voir encore le pRam. IV, C 17-18 (JEAN, LOYRETTE, dans ERUV II, 2001, p. 561-563)." Plan d'édifice, [consonne]translittération h aspiré représente le plan d'une maison. [Le h en égyptien dispose de quatre formes (h1, h2, h3, h4), celui-ci correspond au son h du hot anglais], il dispose du code Gardiner : O4. Pot (vase), (ind. D12,N33,Y24) avec pour code Gardiner : W24 ; bilitère tranlitéré : nw (nous). Signification : pot, vase, mesure, tributs, bière, liquides, boisson, ivresse, oindre. Ce hiéroglyphe servira à écrire le mot mais aussi frictiontel que l'indique Jean/Loyrette, Éd. L'harmattan 2010 TDM (Chapitre XX) 20.1.1. p. 323) pEbers 808. 95, 1-3 mais aussi le massage associé à Z2 {Bardinet TDM p. 72 - fig. 22}. Pot à anse, (gr.W22) W23. Signification : pot, vase, mesure, tributs, bière, liquides, boisson, ivresse, oindre. Ptahshepses,
(Égypte)
masso-personnage développée
dans le Dico
des noms propres. Pubis, pubis féminin m.t. p. 170. Lettre Q
Lettre R Roseau, [semi-consonne bilitère] appelé : yod , tranlitéré eng. ou J Fr. &Germ. M17 prononcé "ieux" comme yacht. Le double roseau dit double yod tranlitéré y. Même prononciation. Signification : homme, humain, [je]. Remet, désigne communément les « hommes » et le terme netjerou les « dieux ». Sert aussi pour désigner : les homme(s), les humains, les mortels, l'humanité, les gens, les personnes, le personnel. Ro,
à translittérer
'r(3)' prononcer " rA ") correspond donc à un volume,
à une unité de mesure égyptienne, soit une
fraction correspondant pour nous à 0,060 litre (0,0600625).
Par exemple, une mesure jp.t (lire " oïpé "),
comprend 320 r(3) = 320 parties (pour nous : 320 partie de 19,22
litre). Les fractions de "l'œil d'Horus" se déclinent aussi en parties r(3). Lettre S Saqqarah, (site d'Égypte) importante nécropole ayant lien avec le massage mais voir dans le Dico des noms propres. Abydos en est un autre, où se trouvait le tombeau d'Osiris, le dieu principal des morts, Sang, (snfw). Le sang est un liant, il fabrique le fœtus dans le ventre maternelle, transforme la nourriture en chair, cicatrise, mais lorsqu'il est freiné dans son circuit naturel et fait enfler la partie, particulièrement dans le cas de blessures, il se retourne alors contre le corps et le ronge sous l'emprise du malin comme en témoigne la présence de pus réputé dévoreur de chair. Ce sang vicié apporte de la vermine et doit être stoppé. {Bardinet p. 37 TDM }. Saou, magicien qui chargeait les amulettes (également appelée Sa) de pouvoirs magiques afin que les dieux mais aussi les défunts mal intentionnés qui revenaient de l'au-delà. Scribe, s'appelait zakhau, en égyptien c'est-à-dire "celui qui utilise le pinceau". Sefetj, goudron végétal, voir (Mennen) Sein, JEAN, LOYRETTE 2010 TDM p. 293 (i) = mn:n Y5:N35-D:D27-F51:Z1 Siège, [consonne unilitère] translittération p [correspond au son p] Code Gardiner : Sounou, médecin-magicien d'Égypte Sperme,
semence
masculine
(mtw.t, mwy, mw) est
considérée par les Égyptiens comme constitutive
de la matière
osseuse. Seth, (Égypte) mais entrée développée dans le Dico des noms propres. Voir aussi ses dieux maléphiques. Sueur, "fdyt" Support de jarre,[consonne] tranlitéré g de grenouille, code Gardiner : W12. Lettre T Tablette d'offrandes pour les sept huiles sacrées, Testicule, (Dico d'anatomie) hrwy [Xrwy]D283D284D411. Dans À propos des instruments médico-chirurgicaux métalliques égyptiens..., par R.-A. JEAN, Éd. Cybele, Paris, 2012 TDM p. 11, on parlera des « deux metou pour les deux testicules, ce sont eux qui donnent la semence. » - il s'agit des canaux déférents. p. 12. Téti, (Pharaon d'Égypte) Roi fondateur mais voir dans le Dico des noms propres. Tjaty, vizir égyptien mais voir dans le Dico des noms propres. Transpirer, action de suer. JEAN, LOYRETTE 2010 TDM p. 325 "Il s'agit probablement d'un superlatif de/bjw "mouiller" ((pSmith 7. 3,19, glose D, en parlant de la sueur qui « dégouline »), c’est-à-dire ici : « répartir bb (un liquide) en arrosant baba c’est-à-dire en « l’inondant »." Lettre U
Lettre V Vase, voir pot. Ventre de vache (pis et queue), [consonne unilitère] translittération (kh) [Le h en égyptien dispose de quatre formes (h1, h2, h3, h4), celui-ci correspond au son [ç] comme dans l'allemand ich], on lui donne le code X mais celui de Gardiner est : F32. Vêtement plié, [consonne unilitère]tranlitéré s ou , codage IFAO s/z S29. Verrou,tranlitéré Z/S [correspond au son s et au pronom elle] son code Gardiner est : O34 (var.Aa8). Associé à la côte animale Aa15 cela nous donne oindre. Dans le pLouvre n° E 32847 {Bardinet TDM p. 82, Fig. 27} D21:O34 forment le cadratavec la bouche D21posée sur le verrou, O34. Vipère (à corne), parfois associé au malin tant elle était dangereuse. [consonne]translittération f [correspond au son f et au pronom il] Code Gardiner : I9. Ajouté au pain ça donnera it (père). Visage, (Ìr), faciès ( mnƒ.t ) . Lettre W
Lettre X
Lettre Y
Lettre Z1, ce n'est pas un signe à proprement parler mais il s'ajoute parfois pour signifier le sens réel, littérale du signe hiéroglyphique correspondant. Le principe de la classification c'est d'accorder à chaque glyphe un code qui lui est propre et s'il correspond par exemple à un bonhomme et que son code est suivit de ce signe Z1, cela équivaudra à ne pas chercher un autre sens métaphorique mais qu'il s'agit vraiment d'un bonhomme comme un "fils" (garçon). Zaou, magicien ayant des fonctions de médecins. Zjn, voir sjn, verbe « frotter ». Zounou, (swnw), forme la plus commune de médecin. JEAN À propos des instruments médico-chirurgicaux métalliques égyptiens..., Éd. Cybele, Paris, 2012 TDM p. 34. voir aussi "Grand de la chair" our aâ ou. |
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