Le Shiatsu. Source wikipédia améliorée par le CFDRM.
Le
Shiatsu,
littéralement
« pression
des doigts »)
est une technique de thérapie manuelle d'origine
japonaise, inspirée du Massage
chinois, qui utilise des pressions verticales
(baro-stimulations), réalisées à
l'aide des pouces
principalement, parfois avec les autres doigts ou les paumes des mains sur l'ensemble du
corps
humain, en référence aux connaissances
de la médecine traditionnelle japonaise (dont
les bases sont identiques à celle de la médecine chinoise)
ou aux connaissances de l'anatomie/physiologie moderne,
afin de traiter différents troubles fonctionnels,
voire organiques spécifiques, et en tant que
médecine préventive.
De
shi, (« doigt ») et atsu
(« pression ») ou littéralement
« pression des doigts »)
Définition et étymologie des idéogrammes
d'origine chinoise pour Shiatsu : ZHI
ou SHI (japonais) Définition :
(Ricci
823) Doigt ; Montrer du doigt, indiquer, désigner
; Indiquer sa volonté, donner des directives,
des ordres ; Se diriger vers, dans la direction, vers
; Intention,
volonté,
désir,
but.
YA
ou ATSU (japonais) Définition :
(Ricci
5607) Peser sur ; Presser ; Appuyer sur ; Comprimer ; Ecraser. Ce n’est donc
pas seulement une partie de la main (le doigt) qui agit, mais
c’est avant tout l’affirmation d’une volonté,
d’une intention. Avec l’intention (le yi) le doigt va
à la rencontre de l’énergie (le
Qi).
"Tout comme les autres formes
de thérapies corporelles asiatiques, le Shiatsu
est basé sur les principes de la médecine
traditionnelle chinoise (MTC). En cela elle utilise
les principes du Yin et du Yang, des 5 éléments
et des trajets de l’énergie qui suivent les méridiens
d’acupuncture. Certains font remonter les racines du
Shiatsu au 7e siècle de notre ère, quand
le Japon envoya une délégation d’étudiants
en Chine pour apprendre la médecine chinoise. La MTC comprend de nombreuses branches
dont l’acupuncture, l’herboristerie, mais aussi le massage,
appelé Anmo Tuina. Les pratiquants d’arts martiaux
qui devaient régulièrement faire face
à des blessures, appréciaient également
ce type de connaissance, qu’ils apprenaient là
aussi sur le territoire chinois.
Bien que le Shiatsu se targue de ses
racines anciennes, il prend sa forme caractéristique
au 20e siècle. Pendant cette période,
le Japon était très largement ouvert aux
idées de l’Occident, plus que la Chine qui subissait
une occupation coloniale à cette même période.
Deux éléments historiques vont forger
le Shiatsu moderne et lui donner sa forme actuelle.
La première est la présence du massage Anma
sur le sol japonais (Anma et la forme récupérée
de l’Anmo chinois) depuis la période Edo (1602-1868).
En 1900, devant l’influence grandissante des techniques
occidentales, le gouvernement décida de légiférer
pour protéger l’Anma, qui devint alors la chasse
gardée des aveugles pour leur talent à
la palpation et au massage." Paragraphe rajouté
issue de l'Ecole Européenne de massage de Bruxelles.
Le
mot Shiatsu
est apparu au début du
XXe siècle.
À la fin du XIXe siècle,
au Japon, de nombreuses techniques manuelles souvent
issues de Chine
survivaient au Japon sous différentes appellations,
entre les mains de praticiens souvent isolés.
Le terme de shiatsu fut utilisé la première
fois au Japon,
en 1920, par Tenpeki Tamai afin de se
distinguer du milieu de l’Anma,
auteur du livre Thérapie
par pression des doigts
(Shi-atsu) [1].
Il est le fruit de la rencontre entre le anma
(massage traditionnel)
et la chiropractie
importée de l'Occident.
Ce terme nouveau fut déposé en 1939. Mais
la première clinique de shiatsu
fut ouverte à Muroran
(Hokkaido )
dès 1925. Devant la pléthore de courants
divers, aux contenus par trop disparates, l'État
japonais dut légiférer.
Tokujiro Namikoshi, qui avait
publié dès 1934 un article
sur Physiologie et shiatsu ouvre également son premier cabinet
de shiatsu,
en 1940. Mais l'avenir de ces techniques s'est trouvé
bouleversé par la Seconde Guerre mondiale et
l'occupation américaine, qui va de force imposer
le système médical occidental au Japon
en créant un pont commercial entre le Japon et
l'Occident, notamment pour isoler le Japon de l'influence
chinoise. Cette question est d'importance pour qui veut
comprendre l'évolution du système médical
dans ce pays.
En
1947, alors que la médecine occidentale
se développe et concurrence à présent
très largement les pratiques d'origine chinoise
ou locales, le gouvernement japonais, dans sa 22e session
de la Diète du Japon, va délibérer
sur l'avenir et la légalité des médecines
traditionnelles telles que l’anma (incluant massage et shiatsu), acupuncture,
moxa, pharmacopée chinoise et autres
techniques. C'est ainsi que fut créé un
diplôme d’État pour pratiquer l’anma traditionnel japonais. Le terme de Shiatsu
a été à l’origine inventé
pour pratiquer l’anma sans le diplôme d’État.
Tokujiro Namikoshi
et son fils Toru Namikoshi
(Namikoshi
Toru) furent les premiers
à obtenir pour leur école la licence officielle
du ministère de la Santé au Japon en
1955.
Sa
réputation a été grandement facilitée
par le fait qu'il a eu l'occasion de traiter Marilyn Monroe lors d'un
déplacement de l'actrice au Japon. Cela a très
largement contribué à sa popularité
et sa présence dans les médias naissantes.
Et cette aura ne le quitta plus. Le shiatsu,
devenu populaire, le nom anma est dès
lors pratiquement réservé au Japon aux
techniques spécifiques de maîtres ou de
thérapeutes non diplômés d'État,
tentant de faire survivre leur école, ainsi qu’à
certains types de modelages en institut de beauté.
Le
Shiatsu
est une des huit approches alternatives désignées,
dans la résolution A4-0075/97
du Parlement européen votée le 29 mai 1997,
comme « médecine non conventionnelle
digne d’intérêt ».
[1] Sur
ce livre nous n'avons toujours rien trouvé. De
plus, nous lisons sur le site de la Fédération Française
de Shiatsu Traditionnel (FFST ) que le mot Shiatsu est « apparut la
première fois dans le livre Shiatsu Ryoho, publié
en 1939, sous la signature de Tenpeki Tamai. »
Le
terme Shiatsu,
réservé aux écoles d'État
et formalisé par Toru Namikoshi et Masunaga
sur la base de l'Amma traditionnel et de
l'adoption des techniques de manipulation issu de la
chiropraxie importé de l'Occident. Avant que
le shiatsu ne devienne une discipline réglementée
au Japon
et finalisé par un diplôme d'État,
des centaines d'écoles formaient les praticiens.
Le anma se pratiquait dans les bains publics, ou au sein
des familles. Mode culturel de rapport à la santé,
comme un moyen naturel de soulagement et de détente.
Les
très nombreuses écoles existant encore
à la fin des années
1970 ont aujourd'hui disparu avec leurs chefs de
file. Les diverses écoles sont :
Tokujiro Namikoshi crée
sa propre école de Shiatsu, parmi bien
d'autres courants, en 1940. Il suggère alors
à son fils Toru de se former à
la chiropraxie
aux États-Unis. Si bien que dans le shiatsu de
Namikoshi s’établit une relation entre colonne
vertébrale et viscères. Ce shiatsu rejoint
la sympathico-thérapie ou réflexologie. Ce
type de shiatsu est accessible avec une relative aisance
car il se passe aisément de références
à la Chine et à sa médecine, et
se concentre sur la technique du soin. Il est certainement,
de ce fait, le shiatsu le plus répandu dans le
monde, et se veut avant tout une technique de toucher.
Le
professeur Ryuho Okuyama ,
décédé en 1987,
est contemporain de Toru Namikoshi
et ces deux praticiens-enseignants se fréquentaient
régulièrement. À cette époque,
des congrès et rencontres de praticiens
étaient régulièrement organisés
et regroupaient parfois des centaines de professionnels.
Namikoshi père et fils étaient d'ailleurs
présents aux funérailles du professeur,
à Omiya. Mais leurs sources d'apprentissage
ont été différentes et Ryuho Okuyama
fut notamment disciple du professeur Hirata, médecin
de médecine traditionnelle chinoise.
L'orientation du Koho shiatsu,
fondé sous cette appellation en
1941, est donc d'emblée médical. Il
s'agit d'une forme technique concentrée
sur une certaine puissance thérapeutique, exercée
toutefois de façon très confortable pour
le patient, et à l'efficacité recherchée,
s'appuyant sur des méthodes diagnostiques
à la fois traditionnelles et originales.
Le
Shiatsu
Koho a été, dès 1975, la forme
de shiatsu enseignée de façon organisée
au sein de la première école et première
fédération française de shiatsu
(FFST ),
par un kinésithérapeute
diplômé d'État, Thierry Riesser (décédé
en 2010), ayant également exercé et enseigné
à Kyoto, au Japon. À plusieurs
reprises, et dès 1977, ce praticien et enseignant
français fit venir en France et en Europe, tant
le professeur Okuyama que son fils, ou d'autres praticiens
japonais afin de diffuser le shiatsu thérapeutique
et médical, notamment, et essentiellement auprès
des praticiens de santé.
L’esprit
européen étant assez étranger aux
modes d’approches culturels de l’Asie, il semblerait
plus difficile d’apprendre le shiatsu Masunaga. Masunaga, philosophe,
après avoir étudié à l’école Namikoshi,
a rapporté à la pratique du shiatsu la
théorie de la médecine chinoise, faisant
ainsi du Shiatsu une médecine
qui inclut la théorie du yin
et du yang
et celle des Cinq Éléments, notions
complexes qui présupposent des acquis culturels
larges en amont des apprentissages spécifiques
du shiatsu, l'approche psychologique est importante
dans l'école de Masunaga. Ce shiatsu utilise
un système étendu des méridiens de la médecine traditionnelle chinoise
en acupuncture,
il est la version japonaise de l’an mo, le massage chinois.
Il
nécessite plusieurs années d'apprentissage,
le temps d'apprendre la médecine traditionnelle
chinoise, de pratiquer et de se familiariser avec les
tableaux pathologiques. Le travail du praticien consiste
en un rééquilibrage « énergétique »
le long de méridiens référés
aux organes et aux viscères dans lesquels circulerait
l’énergie vitale (ki). Il peut être
harmonisant et/ou thérapeutique suivant l'évolution
du praticien dans sa formation.
C'est
un shiatsu thérapeutique, au moins sur les pathologies
externes :
L'origine est le sotai ou sotaiho
du D r Keizo Hashimoto, qui
comprend un travail sur l’équilibre postural,
Les relations étroites entre
douleurs articulaires et système des lignes
tendino-musculaires,
Les influences réciproques
entre dysfonctionnement d’organe et système
neuro-végétatif.
L'innovation
majeure se crée dans la correspondance établie
entre « médecine
énergétique » et « médecine
mécaniste ». Ainsi la myo-énergétique
estime-t-elle que la cause première du déséquilibre
de la santé de l'individu dépasse le déséquilibre
organique ou viscéral, et réside dans
le déséquilibre postural. Le travail du
praticien consiste en une préservation et un
renforcement des équilibres posturaux, laissant
au récepteur le soin de prendre progressivement
conscience de ses propres déséquilibres
à mesure que les équilibres déjà
là sont préservés et/ou consolidés,
et ce par un Shiatsu sur les lignes
tendino-musculaires.
Le
shiatsu macrobiotique développé
par Shizuko Yamamoto se caractérise
par deux principaux points : l'alimentation macrobiotique
comme complément de traitement et l'utilisation
des pieds, lors de manœuvres spécifiques, pour
exercer des pressions sur certaines masses musculaires
du receveur, comme les fesses.
L'Ohashi shiatsu de Maître
Wataru
Ohashi est le prolongement
de l'enseignement de Namikoshi. Le travail
énergétique, la détente et le bien-être
du praticien et du receveur est au cœur de l'Ohashiatsu.
C'est la pratique la plus adaptée aux Occidentaux
et est dispensée dans nombre de pays, aux EU
et ailleurs dans le monde.
Fondé
par Yuichi Kawada qui fut élève
de Namikoshi et Masunaga, le Yoseido
tient compte de la philosophie et de l'ésotérisme
chinois (yin-yang, carré magique,
livre des mutations). Fondé sur les mouvements
appris de ses maîtres, Yuichi Kawada y a ajouté
le fruit d'une vie dédiée au massage
à travers le monde (au Japon, aux Philippines,
aux États-Unis, en France et enfin en Belgique
où il enseigne aujourd'hui). Sa connaissance
du corps
et de la psychologie humaine font de lui un praticien
et un maître étonnant et respecté.
Il est l'un des maîtres qui a introduit le Shiatsu en France
et la FFST (Fédération Française
de Shiatsu Traditionnel )
fait toujours référence à son nom.
Maître
Takeuchi Nobuyuki est le fondateur
du Yin Shiatsu pratiqué
exclusivement dans sa clinique Akahigedo : la voie
de Barbe Rousse - nom inspiré par le Robin des
Bois de la médecine de la période d'Edo qui soignait les pauvres
en surtaxant les riches (voir le film Barbe Rousse de
Kurosawa).
L'Akahigedo
est le centre de médecine orientale que Maître
Takeuchil a créé au cœur de Tokyo, dans
le quartier de Yoyogi, il y a presque 40 ans. Il est
un des centres les plus connus du Japon pour son originalité
et son approche. Maître dans l'art du sabre et
docteur en médecine chinoise, sa grande curiosité
l'a amené à faire de sa clinique un lieu
d'études où sont enseignées et
pratiquées des approches thérapeutiques
dans les domaines du yin shiatsu, de la pharmacopée
chinoise et de la phyto, des compléments alimentaires
et de la diététique, des examens sanguins
approfondis, le "counceling", les chi-kong thérapeutique et
prophylactique.
Il
est l'un des premiers au Japon, vers le milieu des années
80, à accueillir de Chine des maître de
chi-kong,
des pharmacologues et des acuponcteurs afin de favoriser
la recherche et la rencontre entre praticiens japonais
et chinois.
Il
élabore le yin shiatsu qui consiste
à faire du shiatsu une réelle
méthode
thérapeutique, plus efficace, qui agit par le
moyen d'une acupressure plus profonde,
au niveau des tendons et des fascias, sur la circulation
du sang et de l'énergie. Il élabore une
méthode de pression le long du rachi, avec le "sokanshin" ou doigt
en bois sculpté, spécialité de
la clinique. Maître Takeuchi a établi
une base théorique sur la "relation triangulaire
par relation de similitude" qui permet de donner
une réalité physique à l'idée
d'approche holistique. Contrairement
au yang shiatsu qui
peut être ferme mais s'établit plus en
surface, le yin shiatsu est une approche du toucher
plus radicale, qui peut générer de la
douleur,
une sensation
particulière par laquelle un effet d'irradiation
en profondeur amène le corps vers une plus effective
transformation. La clinique Akahigedo a formé
de nombreux praticiens, orientaux et occidentaux, offrant
alors l'expérience d'une sorte de communauté
de pratique.
Elle prépare ses thérapeutes à
une rigueur morale inspirée de
la vie des samouraïs et à un chemin de vie
plus exigeant et plus conscient par le biais du shiatsu.
Pour référence quelques images de la clinique
sur le site français :
– http://academie-tchie.com/clinique_akahigedo.htm – http://academie-tchie.com/takeuchi.htm
Exemple
d'une action de la clinique Akahigedo lors du tsunami
http://academie-tchie.com/news.htm
L'approche
thérapeutique de Maître Takeuchi est aujourd'hui
représentée à Hawaï, dans
quelques villes des Etats-Unis, et en Europe.
Il
est l'auteur de nombreux ouvrages en japonais sur l'expérience
de la médecine, la psychologie et le bouddhisme.
Maître
Ryotan Tokuda, né
à Hokkaido au Japon, en 1938 est diplômé
de philosophie bouddhiste de l’université de
Komasawa et maître Zen (école Soto).
Il apprit le shiatsu et la médecine
traditionnelle chinoise auprès de Maître
Ryosui
Wakita, (également
moine zen de l'école Soto et maître de
kendo). Maître Ryosui Wakita
fut disciple de maître Sorei Yanagiya, lui-même
disciple de l’un des fondateurs du shiatsu : maître
Shinsai
Ota.
Le
shiatsu de Ryotan Tokuda demeure en lien direct avec
la médecine traditionnelle chinoise. Il s’agit
d’un shiatsu appliqué systématiquement
sur les 12 méridiens principaux
avec un toucher-shiatsu spécifique, au fil de
la séance, sur différentes portions de
méridiens et points d’acupuncture. Ryotan Tokuda
enseigne que la qualité du soin dépend
en grande partie de l’attitude du praticien, de sa posture
et qualité de présence. À cette
fin, son enseignement met l’accent sur l’entraînement
du praticien afin qu’il chemine vers le geste juste.
Théories fondamentales de la MTC, diététique
orientale et exercices de santé font partie de
la transmission.
Le
shiatsu holistique est une médecine
complémentaire mariant le shiatsu japonais, à
la médecine traditionnelle chinoise ainsi qu’indo-tibétaine.
Le shiatsu holistique prend en compte l’être humain
dans sa globalité : aspect psychique, affectif
et somatique. L’enseignement est basé sur les
Sept Corps subtils de l’être
humain et considère que l’Esprit agit sur la
matière. C’est pourquoi le processus thérapeutique
a pour but d’agir sur les quatre corps inférieurs :
mental, astral, éthérique et physique.
Lorsque
cela s’avère nécessaire le praticien en
shiatsu holistique agit sur l’un des neuf centres psychiques
(chakras,
(influence Indienne) afin d’harmoniser les trois corps
supérieurs. Un diagnostique est posé selon
les 5 dynamiques (ou 5 éléments) selon
la tradition tibétaine. Une consultation de shiatsu
holistique se décompose comme suit :
Accueil de la personne consultant,
anamnèse complète, tests énergétiques
complets
Bilan énergétique :
définition de la cause des symptômes
ressentis (Terrain) et établissement d’un
processus de traitement complet et justifié
Traitement : le traitement
débute toujours par un massage
des douze méridiens et
se poursuit par un traitement spécifique
à chaque personne sous la forme d’actions
spécifiques sur des points d’énergie
précis ainsi que des manœuvres thérapeutiques
visant à réguler et harmoniser globalement
la personne.
Vérification du traitement
et conseils : vérification de l’efficacité
du traitement par les tests énergétiques,
explication complète du traitement à
la personne consultant et conseils complets d’hygiène
vital (diététique, suggestions de
teintures-mères, huiles essentielles,
conseils de pratiques tel que tai-chi, méditation
ou yoga) afin de stabiliser le traitement dans le
temps.
Tokujiro Namikoshi (père)
; Toru Namikoshi (fils)
; Keizo
Hashimoto
; Hiroshi Iwaoka ; Yuichi Kawada ; Wataru Ohashi ; Ryuho Okuyama ; Thierry Riesser ; Shinsai Ota ; Takeuchi Nobuyuki ; Tenpeki Tamai ; Ryotan Tokuda ; Ryosui Wakita ; Shizuko Yamamoto ; Sorei Yanagiya.
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