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Généalogie (selon les sources) Sa famille (on le dit) :
fils d'Héraclide et de Phénarète ou Praxithée descendante d'Hercule, petit-fils d'Hippocrate Ier, il épousera une
autre Phénarète de laquelle il eu pour fils, Dracon
(serpent : allusion au serpent médical) et Thessalos
(allusion à Thessalie, cf. ci-dessus) ainsi qu'une fille,
également nommée Phénarète qui épousera
Polybe. Ces ses deux garçons et son gendre, hommes de renommée,
passent pour avoir de façon quasi certaine continués
l'Oeuvre d'Hippocrate à laquelle s'est adjointe leurs propres
notes. Apollonidès de Côs serait le cousin d'Hippocrate.
p.87. Il
nous est dit que le dernier des descendants connu d'Hippocrate,
dépositaire de la bibliothèque
de la prestigieuse famille fut médecin à la cour du
roi Cassandre de Macédoine, vers 300 av. J.-C. (Source Émile Littré p. 35, 84, 87 et 90 du fac simile.) T.1er, chapitre IX, page 233, la langue technique et médicale était déjà formée à l'arrivé d'Hippocrate ce qui tend à prouver qu'elle existait bien avant lui et que l'école de Crotone ou de Cyrène étaient déjà célèbres bien avant celle de Côs.
Oeuvres complètes d'Hippocrate par Émile
Littré Ed. Baillière 1839-1861
en 10 volumes TDM * * *
* * EO - etc Oeuvres complètes d'Hippocrate, par Georges Duhamel, Bois originaux de Jean Chièze de 1955 (en 5 volumes) Oeuvres complètes d'Hippocrate, par Pierre Theil Ed. Association Médicale d'Action Culturelle et Artistique de 1979 à 1989 (en 4 tomes). La première édition publiée le fut en 1525 à Rome et traduite en latin par Fabius Calvus, de Ravenne. (Theil, t.1er, p. 98 et 114)
Les auteurs qui le citent en association avec le massage : – Estradère dans sa thèse, Du massage de 1863 p. 11 "Le médecin, dit Hippocrate, (liv. Des articulations) à propos du traitement consécutif à la luxation de l'épaule, doit posséder l'expérience de beaucoup de chose, et entre autre celle du massage. Le massage resserrera une articulation trop lâche, et relâchera une articulation trop rigide ; mais nous déterminerons les règles du massage dans un autre traité". Estradère poursuit en disant "qu"il est regrettable que ce traité, dans lequel Hippocrate a donné les règles du massage, ait disparut". Voir la suite. Chapitre
III page
44/65 Fac
simile p. ? Voir si Theil en parle et faire
un lien (hypertexte fixé) vers ce chapitre Estradère, dans sa thèse Du massage de 1863 lui consacre un chapitre page 13 et le cite à de nombreuses reprises.
Ne pas lire, en travaux
Ne pas oublier de renseigner l'Hexacontabiblos sur la réalité de cet ouvrage manquant, sachant que pour l'heure, ni Littré, ni Theil ne le mentionnent. – Berne nous dit qu'il "donna une base scientifique aux
principes proclamés par son maître (Herodicus). Ses prescriptions furent mises en pratique par les
médecins les plus célèbres de la Grèce
et de Rome (Antillos, Oribase, Athoenoeus, Asclépiade, Celse, Galien)". Voir Remacle
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Noms propres cités : Hippocrate ; Herodicus ; Oribase ; G. Berne ; Dujardin ; Estradère ; Daremberg ; Meding ; Ling ; Héroclite ; Galien ; Hérodite ; Antylus ; Récamier ; Meursius ; Philostrate Noms communs cités : massage, pédotribe, friction, apothérapie, frotte, huile, progymnaste, oindre, rubéfaction, malaxer, excoriation, strigiles, palestrique, luxation, fracture, xystarque, Type de massages cités : massage thérapeutique, au gant, à plusieurs mains, abdominal, de la tête, du cou |
Ce qu'a dit Hippocrate selon Estradère Dans sa thèse, Du massage de 1863 Estradère nous parle d'Hippocrate il lui consacre un chapitre page 13 mais le cite à de nombreuses reprises. Page 11 [...] Voir la suite. Page 13 Période d'invention. Oeuvre d'Hippocrate. — "Le
médecin doit posséder l'expérience de beaucoup
de chose, et entre autre celle du massage..... Il convient de masser l'épaule dans cet état avec des mains douces
et dans tous les cas avec ménagement. On communiquera des
mouvements à l'articulation avec violence, mais autant que
cela se pourra sans douleur." (Trad. Littré, vol. IV, f°103.)1 Page 14 Page 15 |