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TITRE
: Practica Nova in Medicina Dont : AUTEUR : Symphorien Champier, Symphoriani Champerii 1471-1538. Voir son CV. ÉDITEUR
: Josse Badins à Paris. |
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Date d'édition : 1512 ou 14 1ère édition. Régime politique du contexte de l'ouvrage (en France) : Monarchie, Louis XII , roi de 1498 – 1515 mort à 37 ans (27 juin 1462, Blois – 1er janvier 1515). Réédition : Berne l'a dit daté de 1512, mais nous retrouvons la date de 1514 et de 1518, Gallica propose une édition de 1522 avec 103 p. Lieu d'impression : France LANGUE : français FORMAT : complet en un volume, (17cm x 10cm), 290 pages. ISBN : Rosa_gallica_agregatoris_Lugdunensis_par_Symphorien_Champier_de_1518 Droits : libres Crédit
photographique : Le CFDRM.
Il s'agit d'un fragment
de l'édition lyonnaise de 1517,
composé de deux blocs
de pages, totalisant 110
pages (incomplet). Identifiant : http://www.cfdrm.fr Numéro d'archives : RELIURE : ILLUSTRATIONS : _ ETAT : BIOGRAPHIE & THÈME : Médecine Livre en ligne sur : Gallica POIDS : Description
: l'œuvre de Champier
renferme deux parties ; la première nommée par l'auteur
Rosa Gallica, est divisée en 7 livres. – Le quatrième, du vin et de l'eau – Le cinquième, du sommeil, de la veille et de l'insomnie – Le sixième, des affections de l'âme – Le septième, de Pinanition , de la réplétion et du vomissement. La seconde partie du livre de Champier, sous le titre de Hargaarita preciosa, a pour objet les devoirs du médecin et des malades. Pour la composition de son livre, Champier a ainsi mis à contribution les médecins grecs, latins, arabes et contemporains, dont il a coordonné les préceptes.
Il aurait aussi publié à Lyon un ouvrage dans lequel il donne l'histoire et la cure des maladie d'après les principes des Grecs, des Latins, des Arabes et des médecins contemporains ; ce livre, est vraiment très rare et nous savons qu'il parle de massage. Symphorien Champier né à Saint-Symphorien-sur-Coise en 1471, d'une famille bourgeoise. II a étudié la médecine à Lyon et Montpellier et meurt en 1538.
Source en ligne sur : Gallica (Ed. 1522) ; Google-Livres, édition de 1518 non numérisée. Provenance : Incorporation : Non acquis et introuvable à ce jour. Accès à l'emprunt : Statut de l'ouvrage : Non acquis. Reconnaissance associative : |
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Restitution de texte : (extrait complet) de Cinésiologie de 1857 TDM par Dally qui réserve tout un passage p. 364/366 à Symphorien Champier. Suite de la page
364 sur : Symphorien Champier né en 1472(1) à Saint-Symphorien-le-Château près de Lyon, fut le médecin de Charles VIII et de Louis XII et premier médecin du duc Antoine de Lorraine , qu'il suivi en Italie. De retour dans sa patrie, il fut élu conseiller-échevain de Lyon , où il mourut en 1533. Champier a beaucoup écrit sur divers manières, notamment sur l'histoire et sur la médecine. Quelques-uns de ses ouvrages sont fondés sur ses propres observations ; les autres ne sont, comme la plupart de ceux de son époque, que des compilations, où l'érudition tient la place de l'expérience et de l'observations(1).
(1) Consulter sur les ouvrages de Champier la Bibliographie médicale du Dictionnaire des sciences médicales, Paris, 1821, et la Nouvelle bibliographie universelle de F. Didot, Paris, 1854. – Champier, l'un des premiers qui écrivirent une biographie des médecins, fut le premier auteur d'un vocabulaire des termes de médecine, qui fut mis 1 Sur le CV de Symphorien Champier la date de naissance que nous avons est (1471-1538). Un jour il détacha de la Couronne de Gazi une fleur (1), qu'il nomma : Rosa Gallica agregatoris Lugdunensis, domini Symphoriani Champerii, Omnibus sanitatem affectantibus utilis et necessaria, etc, – la Rose gauloise du collectionneur lyonnais, le seigneur Symphorien Champier, utile et nécessaire à tous ceux qui désirent la santé, contenant les préceptes, les autorités et les aphorismes dignes de mémoire, tirés des livres d'Hippocrate, de Galien, d'Erasistrate, d'Asclépias, d'Isaac, d'Avicenne et de beaucoup d'autres hommes célèbres ; choses non moins importantes pour l'art médical que pour la santé. – Ensemble, sa précieuse Marguerite, ou du devoir du médecin et du malade. Ce livre a eu plusieurs éditions ; notre exemplaire est daté de Nanci, de 1512, in-12. Il est divisé en deux parties. La première traite des six choses non-naturelles, en sept livres. La seconde, à laquelle il donne le nom de sa précieuse Marguerite, Marguerite du Terrail, sa femme, de l'illustre famille du chevalier Bayard, contient, en deux livres, ce qu'il croit nécessaire de connaître pour traiter les maladies. Cette seconde partie est une compilation purement médicale ; nous n'avons pas à nous en occuper ici. Mais dans la première partie, le septième chapitre du premier livre appelle notre attention. Il montre, dit-il, que les exercices sont très avantageux à la santé : Exercitationes ad sanitatem prodesse plurimùm ostendit. L'auteur commence par résumer quelques traditions sur les avantages généraux que procurent les exercices. Il note ensuite différents genres d'exercices, rappelant que Galien préférait le
au courant du progrès des sciences par Blankaard, Castelli, Capuron, Nysten, Bricheteau, Henri, Briand, Jourdan, et enfin Littré et Robin, en 1855, sous le nom de Nysten. N'oublions pas non plus, que c'est à Champier que la ville de Lyon doit la fondation de son école de Médecine, que subsiste encore aujourd'hui. C'est à la même époque que Linacre fondait son collège des Médecins à Londres. (1) L'ouvrage de Gazi Florida Corona, de 1491 signifie "Couronne de fleurs."
Page 366 Il pose ensuite et résoud deux problèmes de physiologie, à la façon de son temps, et termine ce septième chapitre par une collection de cinquante-sept préceptes concernant le mouvement et le repos, l'exercice libre, utile à tous ceux qui veulent conserver leur santé, et la friction, convenable surtout aux personnes faibles, aux vieillards et aux enfants. Les collections de Champier sont beaucoup moins complètes que celles de Gazi, qu'il ne nomme pas, et à qui cependant il les avait empruntées, plutôt qu'aux écrivains anciens auxquels il renvoie. » |
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