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L'histoire du massage cardiaque. répulsion électrique entre les deux peaux avec le champs magnétique des électrons L'arrêt cardiaque
a de tout temps rimé avec mort irréversible, le coeur
qui s'arrête, éteint avec lui la vie biologique qu'il
animait depuis le début-même de la vie intra-utérine.
On sait depuis longtemps déjà que le massage connu sous différents vocables encore
utilisés aujourd'hui comme constituant une des technique
qui le compose comme la friction, du latin fricamentum,
ou le prétrissage qui prend ses racines du grec Massage qui signifie
pétrin. Yn-Kang-Chi (deuxième
empereur avant Fou-Hi) faisait faire chaque jour de l'exercice
militaire à ses sujets... Un écrivain chinois de cette
époque attribuait les maladies à "l'obstruction
des humeurs" et précédait ainsi Hippocrate. Le sang était porteur de mauvaises humeurs et
si la saigné hâtait son renouvellement, en masser les canaux constitué
des avantages que les différentes époques s'appliquèrent
à décrire. Ambroise
Paré en 1575
préconise la friction comme William
Harvey, auquel on doit d'importants travaux
sur la circulation sanguine avait alors constater les effets positif
du massage sur
le corps en 1628. Les tentatives de réanimation ou de ressuscitation
remontent aussi loin que l'homme tenta d'empêcher l'inéluctable
et furent particulièrement utilisées dans les cas
de noyades où l'on essaya diverses actions pour faire sortir
les excédants d'eau et ré-insuffler la vie. Le massage
cardiaque est indissociable de la réanimation. Ainsi, avant
même toute logique thérapeutique, le simple fait de
secouer un être cher en train de mourir, voir même déjà
décédé, suffit à constituer non seulement
un massage mais aussi une pratique destinée à
le ramener à la vie. L'homme ne pouvait se contenter de ces
pratiques primitives et spontanées sans élaborer,
par empirisme, à force d'observation, d'imagination, des
techniques dont certaines restent actuelles. C'est le Dr William-Bennett
Kouwenhoven qui en 1961 mais aussi Safar
qui donnèrent au massage cardiaque toute sa dimension
en décrivant scientifiquement les manipulations et le déroulé
d'une intervention même s'ils considèrent encore à
l'époque que l'efficacité était due au fait
que les pressions rythmées sur
le sternum, comprimaient le cœur entre les vertèbres et la
colonne vertébrale en aidant à l'expulsion naturel
du sang par le processus d'une systole aidée. Seulement échocardiographiques
et ciné-angiographiques ont démontrée que les
valves cardiaques perdent tout ou partie de leur efficacité
pendant le massage cardiaque externe. Sources : |
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