Non acquis

TITRE : L'Univers pittoresque : histoire et description de tous les peuples, de leurs religions moeurs coutumes et industries.
Japon, Indo-Chine, Ceylan, Empire Birman (ou Ava), Siam, Annam (ou Cochinchine), Péninsule Malaise, etc. Au moins tomes 8.

AUTEUR : Dubois de Jancigny.

ÉDITEUR : Firmin Didot Frères, 24 rue Jacob.

Date d'édition : 1850 ? (édition de Google, qui nous intéresse date de 1801.)

Régime politique du contexte de l'ouvrage (en France) : Deuxième République (du 24 février 1848, date de la proclamation provisoire de la République à Paris, jusqu'au sacre de Louis-Napoléon Bonaparte (né est né à Paris, le 20 avril 1808 et mort à Chislehurst au Royaume-Uni, le 9 janvier 1873.)
Le 11 décembre 1848 Élection du 1^er « président de la République française », remportée par Louis-Napoléon Bonaparte ; 2 décembre 1851 Coup d'État et Rétablissement de l'Empire 2 décembre 1852.

Réédition :

Lieu d'impression : Paris, France.

LANGUE : français

FORMAT : livre en 1 volumes sur 6, for in-8, 14 x 22,5 cm, 666 pages.

Type : Livre au moins 8 volumes, complets.

ISBN-13 : aucun

Droits : Libres

Crédit photographique : Le CFDRM.

Identifiant : http://www.cfdrm.fr

Numéro d'archives :

RELIURE : papier souple.

ILLUSTRATIONS : _

ETAT :

BIOGRAPHIE & THÈME :

POIDS :

Description :

Résumé :

Extrait du livre :

Références :

Livre en ligne sur : Gallica, édition de Google, édition de 1801.

Provenance :

Incorporation :

Accès à l'emprunt : non acquis, vu à €.

Statut de l'ouvrage :

Reconnaissance associative :

Restitution de texte : page 346 "Une maladie propre à ce pays et que les Birmans nomment teh, « la montagne » est une espèce d'engourdissement qui, commençant d'abord aux pieds, s'élève peu à peu en s'étendant, et finit par un tel anéantissement de l'énergie vitale que le malade perd la parole et le sentiment. Ils l'attribuent aux vent ; mais il faut en chercher la vraie cause dans le peu d'exercice que prennent les hommes dans un âge avancé, et l'abus qu'ils font des aliments visqueux et acides, aussi les jeunes gens, les laboureurs, et ceux qui malgré la loi, font usage des liqueurs,

page 346
fortes, sont-ils exempts de cette maladie, fréquente chez les talapoins et ceux qui passent les nuits près des morts. L'unique remède qu'ils emploient est de se mettre trois, ou un plus grand nombre de personnes, à masser violemment et fouler quelquefois même avec les pieds, les membres du malade, pour exciter de la douleur, et ils font durer ce massage jusqu'à ce que le patient ait retrouvé le sentiment. L'expérience a prouvé que ce remède était souvent efficace, mais il est aussi une cause de mort, et cela par suite de la force et de la vivacité avec laquelle on masse le patient. Ainsi il est arrivé de voir huit ou dix hommes vigoureux unir leurs efforts pour frotter avec une espèce de fureur tous les membres, le cou et la poitrine de personnes surprises d'un fort accès de teh, et la mort s'en suivre, le malade avant été pour ainsi dire, étouffé."