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TITRE : Est à votre disposition L'Empire chinois. (l'acupuncture est citée)

AUTEURS : Père Huc Régis.

ÉDITEUR : Baillière

Photographe :

Date d'édition : 1854, Première édition. pour le second volume.

Ré-édition : La 1ère édition du 1er volume est de 1850.

Lieu d'impression : Paris, France

LANGUE : français

FORMAT : 2 volumes complets, 24,5 x 16,3cm., 426 et 440 pages.

Type : Livres en deux volumes.

ISBN : aucun

Droits : libres

Crédit photographique : Le CFDRM.

Identifiant : http://www.cfdrm.fr

Numéro d'archives :

RELIURE : papier, couverte de craft. Fragilité au niveau des mors.

ILLUSTRATIONS : non, juste une carte de Chine coloriée en vert au début du tome 1, voir.

ETAT : bon.

BIOGRAPHIE & THÈME : Voyage.

POIDS :

Résumé :

Préface :

 

 

Description : dans le Chapitre 1er jusqu'à la page 40 du tome 2, l'acupuncture est citée, voir si le massage y est mentionné.

Commentaires : Cité à de nombreuses reprises par Dally dans sa cinésiologie de 1857 TDM Fiche techniqueet page 31 de la thèse d'Estradère, Du massage de 1863 Fiche technique.

Biographie : Entré chez les Lazaristes en 1837, le Père Huc Régis s’embarque au Havre en 1839, à destination de la Chine. Il touche le sol chinois en 1840, au moment où le Bienheureux Gabriel Perboyre, Lazariste comme lui, l’arrosait de son sang. En effet, le sort réservé aux missionnaires dans cette partie du monde était de nature à refroidir les vocations. Si l’on ne mourrait pas étranglé, on vivait martyrisé ! Mais l'homme n’était pas de nature à se laisser impressionner...
Il se rase la tête, aménage une longue tresse, maquille son visage, ses sourcils et revêt la tunique chinoise de Gabriel Perboyre. Ainsi déguisé, il franchit la grande Muraille via Pékin et rejoint son affectation dans un petit village de la Mongolie intérieure. C’est là qu’il rencontre son futur compagnon de voyage, le père Gabet. Après avoir converti au catholicisme le jeune Lama qui leur servira de guide et appris le mongol, nos deux Lazaristes partent pour le Tibet. En décembre 1845, le voilà, avec ses compagnons, dans les montagnes du Tibet, à 5 000 m d’altitude. C’est en 1846 qu’il voit apparaître Lhassa, la capitale de l’Asie religieuse, la cité de Bouddha. Dans la ville, on se précipite pour observer ces « lamas venus d’occident » originaires d’un pays inconnu. Pourtant, n'en déplaise à leur fierté, les pères Huc et Gabet ne seraient pas les premiers Européens à entrer à Lhassa. Au 13eme siècle, Odoric de Pordenone les aurait précédés ainsi que les capucins Joseph de Asculi et François de la Tour. Ce qui n’enlève rien à leur mérite ! Le père Huc, à son retour en France, écrivit Souvenirs d’un voyage dans la Tartarie, le Tibet et la Chine, un récit publié en 1850 qui retrace les événements dont je viens de vous parler.

Menacée de mort, l’équipe missionnaire doit repasser en Mongolie en 1846. Là, commence le deuxième volet de l’aventure de nos deux missionnaires. Jugés innocents au cours d’un procès théâtral, ils doivent néanmoins regagner Macao. Mais, protégés par les ordres d’un « vice-roi », ils accomplissent le trajet en palanquin, côtoyant cette fois la haute société chinoise. Ainsi naît un second volume de récits paru la première fois en 1854, l’Empire chinois, que je vous propose ici dans l'édition originale. Plus documenté que le premier mais toujours très axé sur l’observation personnelle, le livre démontre une fois de plus les qualités journalistiques de notre prêtre. Il fondera en Chine une communauté catholique importante. Mais, le Père Huc comprend que sa santé, très affaiblie, ne supportera pas longtemps le climat. En effet, en 1852, il est obligé de quitter la Chine : Il visite les Indes, la Palestine, la Syrie et parvient en France. Il meurt à Paris en 1860. Son oeuvre reflète l’originalité de sa personnalité. D’une part, un intellectuel, idéaliste attiré par la spiritualité et les longues études, d’autre part, un homme ouvert doté d’un humour à toute épreuve. Il suffit pour cela de lire sa description d’un cadavre que l’on doit découper pour le transporter, les attaques des brigands, le cliquetis des outils des bourreaux au tribunal ou encore une dégringolade de yack dans les montagnes tibétaines…

Bibliographie :

Souvenirs d’un voyage dans la Tartarie, le Tibet et la Chine, un récit publié en 1850

Commentaires : Parle de massage,

Fiche de repérage (mots clef) : à compléter

TDM : Traite ou emploie des termes liés au massage. Parle d'acupuncture dans le Chapitre 1er jusqu'à la page 40 du tome 2, voir si le massage est mentionné.

Restitution

Source en ligne sur :

Provenance : France

Incorporation : jeudi 24 mai 2012, 10:54.

Accès à l'emprunt : non, (Argus de recherche 1300€ pour les deux volumes).

Statut de l'ouvrage : don

Reconnaissance associative : Ce livre appartenait à la bibliothèque Alain Cabello.

 

Carte de Chine, tome 1er.

 

 

Commentaire des lecteurs Chaque personne ayant procédé à la lecture de ce livre pourra, si elle le souhaite, y faire paraître un commentaire ou un résumé en lien avec le massage.

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