CFDRM > Livres de la bibliothèque > Poésies
|
Massage de bien-être
Des petits massage d'amour, pour notre belle de toujours, beauté de la vie, la plus belle aujourd'hui...
On faut un massage de bien-être, un massage d'amour pour l'être, qui est l'élue de notre coeur, et qui est la plus belle fleur...
|
Parcourir le corps de l'amour, et cela chaque jour, de celle qu'on aime tellement, qu'on en oublie le temps...
Un petit massage bien-être d'amour, qui rime avec toujours, pour la fleur de notre coeur, qui est la plus belle et tout un bonheur...
Olivier O. |
C'est en 2008 que j'ai lancé l'initiative d'un Centre Français de Documentation et de Recherches sur les Massages, le CFDRM pour tenter de parer au déficit flagrant de culture générale sur le massage en France. Depuis, c'est sans relâche que je traque tout ce que lectures et web peuvent me donner à rassembler sur cette pratique tellement surprenante.
|
Du docteur Rabelais
L'odeur
du vin ô combien plus eft friant, riant, priant, plus cel
eft et délicieux que l'huile
? Et prendray autant à gloire qu'on die de moy que plus en
vin ay defpendu qu'en huile. |
|
Georges Fourest (1864-1945) La Négresse blonde, Paris, Club français de l’estampe, 1957 (Petits calicots )
|
Petite audace _ Eh,
l'allonge, corps nu
_ Comme
sont les Canuts J'attends
l'oeuvre du bien
_ Rien
si peu défendu |
_
Celui-ci le vaut bien
_ Ce
rêve le crois-tu ?
Alain
Cabello-Mosnier |
"Sa peau sublime
rendait l'amour nécessaire.
toi, moi, vous, nous tous, que pouvions-nous donc y faire
Le sable d'une épaule pareille à ces dunes
et moi qui les massais comme on masse la lune"
Poèmes sur le massage : playliste sur CanalBlog
et sur Viméo
|
Sonnets du docteur Ces sonnets, disponibles au CFDRM, furent publiés en 1932 et illustrés par Joseph Hémard. Edition Jacques Petit à Tour. Mise en ligne le 6 mai 2008 (Libre de droits)
Dans les nuits sans sommeil, l'amour vous a blêmie Et vos chairs ont perdu leur tonus, ô ma soeur ! Maintenant il vous faut confier au masseur Les trésors alanguis de votre anatomie
Ointes d'une huile ambrée, effort de la chimie, Ses mains en qui la force épouse la douceur, Pressent le grand-dorsal, malaxe l'extenseur, Pour des combats nouveaux vous voilà raffermie.
Jadis votre docteur, plein de calme aujourd'hui, Massait fougueusement sur des lits de pervenches... Il opère à présent pour le compte d'autrui.
Tel plongeant ses bras nus au sein des pâtes blanches, Le gindre enfariné, dévêtu jusqu'aux hanches, Pétrit de petits pains __ qui ne sont pas pour lui. |
|
|
Le métier de Masseur pièce
de théâtre
de Richard Pierre Extrait de la rime en fin de pièce.
Masser, n'est pas chose facile, Je m'en aperçois aujourd'hui. Bah ! pourquoi m'échauffer la bile Je vais tout droit, boire un demi ! |
|
Poèmes traitants du corps
|
Le blason est une forme littéraire comme celui de Marot au sujet du "tétin".: Tetin refaict, plus blanc qu’un oeuf, |
|
|
Le front par Maurice Scève : Front apparent, affin qu’on peult mieulx lire |
|
|
J'ai deux Amour, mon Auvergne et Paris Dieu que cet art est beau lorsqu'on s'en fait créateur, Sous tes mains putain, sous tes mains Une peau qui parle pour des doigts qui écoutent Cul comme commencement. Masser c'est voyager, c'est découvrir l'autre
par le prolongement de soi C'est la façon qui change tout Un homme qui s'endort sous les mains d'un masseur et bien les esprits qui saisissent cela Je suis comme Jean le bleu, le sabotier de
Giono
Dimanche 31 mai 2009 |
|
|
Dans son « poème de la grande peste de 1348, Olivier de la Hayes écrivait : Page 149 Page 150 Page 149 Il serait intéressant d'acquérir cet ouvrage. |
|
|
Novalis dans Hymnes à la nuit : Que jaillit-il soudain de si prémonitoire sous mon cœur et qui absorbe le souffle douceâtre de la nostalgie ? As-tu, toi aussi, un faible pour nous, sombre Nuit ? Que portes-tu sous ton manteau qui, avec une invisible force, me va à l’âme ? Un baume précieux goutte de ta main, du bouquet de pavots. Tu soulèves dans les airs les ailes alourdies du cœur. Obscurément, ineffablement nous nous sentons envahis par l’émoi - je vois, dans un joyeux effroi, un visage grave, qui, doux et recueilli, se penche vers moi, et sous des boucles infiniment emmêlées montre la jeunesse chérie de la Mère. |
|
|
Laurent Tailhade, Au pays du Mufle HYDROTHÉRAPIE Ainsi ses membres gourds et sa vertèbre à
point |
|
|
Si vous repérez des poèmes, des textes ou toutes choses se rapportant de près ou de loin au massage merci de nous les faire parvenir contact.cfdrm@yahoo.fr |
|