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Non acquis

TITRE : Est à votre disposition Dogme et rituel de la haute magie.

AUTEUR : Eliphas Levi

ÉDITEUR : Niclaus

Date d'édition :

Lieu d'impression :

LANGUE : français

FORMAT : Un volume, 15,5 x 24 cm, 400 pages.

ISBN 10 :

Droits : réservés.

Crédit photographique : Le CFDRM.

Identifiant : http://www.cfdrm.fr

Numéro d'archives :

RELIURE : papier souple

ILLUSTRATIONS : oui, 24 figures dans le texte et 3 in-texte: différentes figures dont le triangle de salomon, le pentagramme de Faust, le Bouc du sabbat, le cercle goëtique des évocations noires et des pactes...etc

 

 

ETAT : correct et complet.

BIOGRAPHIE & THÈME : Ésotérisme

POIDS :

Description :

Résumé : Voir la Table des matières.

Restitution de texte : Voir ci-dessous.

Commentaires : Traité avec une partie dogmatique consacrée, entre autre, à ma magie noire, les envoûtements, la Kabbale... et une partie pratique sur la maniére d'asservir les esprits, les conjurations et sacrifices magiques, la manière de former la triple chaîne, le sabbat, les envoûtements et les sorts... etc Répertorié par Caillet T.I n 2571 ` Dorbon 1461 pour l’édition originale.

Au chapitre La thaumaturgie nous avons "- Thérapeutique. - Insufflation chaudes et froides. - Passes avec et sans contact. - Impositions des mains. - Vertus diverses de la salive. - L'huile et le vin. - L'incubation et le massage ?"

Il serait intéressant de définir la place du massage dans les rituels et par ce livre, nous avons une première information.

La place du massage en ésotérisme serait intéressante à localiser, nous avons aussi Traitement mental par Albert L. Caillet Ed. Vigot de 1941 Fiche technique.

Fiche de repérage (mots clef) : à compléter

Massage ;

TDM : Traite ou emploie des termes liés au massage

Provenance :

Incorporation :

Accès à l'emprunt : non acquis

Statut de l'ouvrage :

Reconnaissance associative :

 

 

 

Restitution de texte.

Je vous restitue quelques éléments bibliographiques puis la Table des matières. Le mot massage est utilisé dans la Thérapeutique.

 

ALPHONSE LOUIS CONSTANT dit ÉLIPHAS LEVI (1810-1875)
Eliphas Lévi est le personnage le plus marquant de l'occultisme du XIX eme siècle et il forme la transition, tant par sa vie que par son oeuvre entre l'occultisme des petites société initiatiques et celui des grandes structures comme la franc-maçonnerie (il appartint au GRAND ORIENT DE FRANCE), la Société Théosophique, ou l'ordre martiniste.

Fils d’un cordonnier parisien, Alphonse-Louis Constant entra au séminaire de Saint-Sulpice à Paris, qu’il quitta en 1836 après avoir été ordonné diacre...
Les idées utopistes et humanitaires du temps l’absorbent alors tout entier: il se lie d’amitié en 1838 avec la socialiste Flora Tristan; collabore avec Alphonse Esquiros à une revue qui révèle au public ses dons de dessinateur. Songeant encore parfois à accéder à la prêtrise, il y renonce définitivement à la suite d’un séjour, en 1839-1840, à l’abbaye de Solesmes où il a lu les gnostiques et Mme Guyon. Surveillant au collège de Juilly, où ses supérieurs le maltraitent, il compose, au grand scandale du clergé et des bien-pensants, La Bible de la liberté (1841), qui lui vaut d’être condamné la même année comme révolutionnaire et disciple de Lamennais (la prison dans laquelle il purge sa peine huit mois durant abrite aussi celui-ci); il y lit Swedenborg. En 1843, il illustre des livres d’Alexandre Dumas et raconte, dans La Mère de Dieu, les misères de sa jeunesse. Mais c’est dans Le Livre des larmes (1845) qu’il développe pour la première fois des notions ésotérisantes. On le condamne encore à six mois de prison pour La Voix de la famine (1847), dont il ne fut pourtant pas le véritable auteur; puis, la révolution de 1848 lui donnant plus de liberté, il commence à diriger une revue et un club.

En 1851, il collabore au Dictionnaire de littérature chrétienne de l’abbé Migne, et rencontre sans doute Hoëné Wronski, dont l’œuvre fait sur lui une impression durable et l’oriente vers le messianisme napoléonien et la pensée mathématique. Il prend alors le nom d’Eliphas Lévi, se rend à Londres en 1854, y rencontre sir E. Bulwer-Lytton, évoque avec lui des esprits, dont celui d’Apollonius de Tyane, qui leur serait apparu tangiblement. Revenu en France, il achève son ouvrage intitulé Dogme et rituel de haute-magie qui paraît de 1854 à 1856, sous la signature d’E. Lévi. Alors commence le succès, mais non la fortune. En 1859, l’Histoire de la magie le consacre en attirant à lui la plupart des ésotérisants français (notamment Henri Delaage, Paul Auguez, Jean-Marie Ragon, Desbarolles, Henri Favre, Pierre Christian, Fernand Rozier, qui sera le jalon historique entre E. Lévi et Papus). E. Lévi publie en 1861 La Clef des grands mystères; il retourne à Londres passer quelques mois auprès de Bulwer-Lytton. La maçonnerie du Grand-Orient l’admet dans son sein, mais le zèle du mage, qui prétend dèjà tout savoir sur elle, ne dure guère. Sa correspondance de neuf années avec le baron italien Nicolas Joseph Spedalieri nous livre de précieuses indications sur son évolution. Il publie Fables et symboles (1862), ouvrage consacré au symbolisme de Pythagore, des Évangiles apocryphes et du Talmud, et La Science des esprits (1865), très critiquée à l’époque. Il travaille en même temps à un ouvrage superbe, mais d’une valeur historique contestable, Le Livre des splendeurs, qui traite surtout de la Kabbale du Zohar et qui ne paraîtra qu’après sa mort. Judith Gautier, fille de Théophile et épouse de Catulle-Mendès, se met à son école, tandis que son mari lui fait rencontrer Victor Hugo et le met peut-être en rapport avec Stanislas de Guaïta, qui plus tard lira les œuvres du «mage» et se fera le propagateur infatigable et autorisé de sa doctrine. Par sa seule période «révolutionnaire», Eliphas Lévi serait passé à la postérité, même si sa vie s’était arrêtée en 1848. Mais sa célébrité tient surtout à la seconde période de son existence, celle qui va de 1854 à 1875. Lévi a d’abord le mérite d’avoir rappelé, et pratiquement codifié pour quelque temps, la vision théosophique du monde, c’est-à-dire une métaphysique fondée sur la doctrine analogique des correspondances, au sens baudelairien (1857) et traditionnel du terme. Par ce retour à la théosophie de toujours, il a contribué à spiritualiser l’ésotérisme de son temps, à répandre une Weltanschauung pour laquelle matière et esprit ne sont qu’une seule réalité. Son œuvre apparaît à cet égard aussi comme étant une réaction contre le spiritisme montant: les anges, les esprits intermédiaires, les émanations divines importent plus à Lévi que les évocations des morts, pratique impliquant une opposition entre l’en-deçà et l’au-delà, c’est-à-dire une conception dualiste. On peut donc le regarder comme un des rares «philosophes de la nature» en France, en un temps où l’Allemagne en comptait beaucoup. Son amitié et sa collaboration avec Louis Lucas, qui était un compagnon de Wronski et tentait d’introduire en France le principe de polarité, apparaissent significatives à cet égard: Lévi désirait, lui aussi, réconcilier les sciences occultes et les sciences traditionnelles d’une manière non réductrice, mais synthétique, englobante et créatrice. Il y a chez lui une pensée dialectique très ferme qui n’est ni celle de Hegel, ni — malgré sa «philosophie de la nature» — celle des présocratiques ; il se montre, au contraire, expert en maïeutique et dans l’art de rapprocher les contraires. Son esprit est plus mathématique qu’on ne l’a cru, mais selon une logique «ouverte» qui n’est pas incompatible avec celle du symbole. Pourtant Lévi n’échappe pas tout à fait à l’emprise du dualisme ambiant. Bien qu’il enseigne à ses disciples de se garder des voies opératives de la magie, il les suit lui-même car son tempérament, un peu comme celui de son contemporain Joseph Ennemoser en Allemagne, le porte plus vers l’expérimentation que vers l’approfondissement de l’herméneutique théosophique: chez lui, la cosmologie et ses applications dominent souvent au détriment de la cosmogonie et de l’eschatologie (encore que ce goût «expérimental» soit peut-être une simple concession à l’esprit du temps; Lévi fut bien moins empiriste, en effet, que la plupart de ses contemporains, magnétiseurs et autres). Il reproche à Louis-Claude de Saint-Martin d’avoir un peu trop de penchant «pour le mysticisme passif qui contemple le Verbe au lieu d’entrer dans la vie active du Verbe qui est la virilité de l’âme»; mais cette opposition à la pensée saint-martinienne reste fluctuante. C’est lui qui a inventé le mot «occultisme», terme qui désigne l’aspect pratique, non la pensée, de l’ésotérisme, ainsi référé aux preuves tangibles de l’au-delà, aux pouvoirs, aux manifestations visibles de l’invisible. A l’époque symboliste, Papus et Chamuel publièrent le monumental Grand Arcane de Lévi, qui, dans cet ouvrage, se révèle vraiment le père de l’occultisme moderne. Peut-être Papus a-t-il lui-même «arrangé» le texte dans ce sens, développant le côté empiriste en l’amplifiant, car il semble que Lévi n’ait jamais, de son vivant, traité des «sciences occultes» dans l’acception papusienne du terme. Cependant, le fait que Lévi ait pratiquement commencé sa carrière de magiste lors de sa rencontre avec Bulwer-Lytton, auteur de romans fantastiques, et qu’il ait été contemporain de la naissance du spiritisme et de la littérature fantastique au sens précis du terme explique en partie pourquoi, jusqu’à l’époque présente, l’ésotérisme comme pensée ait été supplanté par l’insolite, les histoires de fantômes et le goût de l’étrange. Jusqu'a son décès, en 1875, Eliphas Lévi enseigna la théurgie, la magie et la Kabbale, soit lors de rencontres à a son domicile, soit par correspondance; il effectuait aussi des travaux de magie blanche à la demande. Ses disciples, nombreux, comptaient plusieurs noms de l'aristocratie, comme le gendre de madame de Balzac, ou des arts comme Judith Gautier. Même Victor Hugo le fréquenta et s'inspira de son oeuvre pour écrire LA FIN DE SATAN. Il meurt le 31 mai 1875, est inhumé au cimetière d'Ivry.

 

TABLE DES MATIERES

Discours PRÉLIMINAIRE. - Des tendances religieuses, philosophiques et morales de nos livres sur la magie

INTRODUCTION

Le récipiendaire. - Unité du dogme. - Qualités requises pour l'adepte Les colonnes du temple. - Bases de la doctrine. Les deux principes - L'agent et le patient Le triangle de Salomon. - Théologie universelle du ternaire. – Macrocosme Le tétragramme. - Vertu magique du quaternaire. Analogies et adaptations. - Esprits Elémentaires de la cabale Le pentagramme. .- Le  microcosme et son signe. Pouvoir sur les  éléments et sur les esprits L'équilibre magique. action de la volonté. - Initiative et résistance. - Amour sexuel. - Le plein et le vide.

L'épée flamboyante. - Le sanctum regnum. - Les sept anges et les sept génies des planètes. - Vertu universelle  du septénaire La réalisation. - Reproduction analogique des forces. - Incarnations des idées. - Parallélisme. - Antagonisme nécessaire L'initiation. - La lampe, le manteau et le bâton magiques. - Prophétie et intuition. - Sécurité et stabilité de l’initié au milieu des périls. - Exercice du pouvoir magique.

La Kabale. - Sephirots. - Semhamphoras. - Tarots. - Les voies et les portes, le Bereshit et loi Mercavah, la Gématrie et la Témurah. La chaîne magique. - Courants magnétiques. - Secrets des grands succès. - Tables parlantes. -- Manifestations fluidiques. Le grand oeuvre. - Magie hermétique. - Dogmes d'Hermès. - La Minerva mundi. - Le grand et unique Athanor. - Le pendu La nécromancie. - Révélations de l'autre monde. - Secrets de la mort et de la vie. - Evocations. Les transmutations. - Lycanthropie. - Possessions mutuelles ou embryonnat des âmes. - baguette de Circé.  L'élixir de Cagliostro  La magie noire. - Démonomancie. - Obsessions. Mystères des maladies nerveuses. - Ursulines de Loudun et religieuses de Louviers. - Gaufridi et le père Girard. Le livre de M. Eudes de M ; Les envoûtements. - Forces dangereuses. - Pouvoir de vie et de mort. - Faits et principes. - Remèdes. Pratique de Paracelse L'astrologie. - Connaissance des hommes d'après les signes de leur nativité. - Phrénologie. - Chiromancie. - Métoposcopie. - Les planètes et les étoiles. - Années climatériques.- - Prédictions par les révolutions astrales. Les philtres et les sorts. - Magie empoisonneuse. - Poudres et pactes des sorciers. - La jettatura de Naples. - Le mauvais oeil. - Les superstitions. - Les talismans. La pierre des philosophes. - Elagabale. - Ce que c'est que cette pierre. - Pourquoi une pierre. - Singulières analogies La médecine universelle. - Prolongation de la vie par l'or potable. - Résurrectionnisme. - Abolition de la douleur. La divination. - Songes. - Somnambulisme. - Pressentiments. - Seconde vue. - Instruments divinatoires. Alliette et ses découvertes sur le tarot Résumé et clef générale des quatre sciences occultes. - Cabale. - Magie. - Alchimie. -- Magnétisme ou médecine occulte Les préparations. - Dispositions et principes de l'opération magique, préparations-personnelles de l'opérateur. - L'équilibre magique. - Emploi alternatif des forces. - Oppositions nécessaires dans la pratique. - Attaque et résistance simultanées. - La truelle et l'épée des travailleurs du Temple Le triangle des pentacles. - Emploi du ternaire dans les conjurations et les sacrifices magiques.  Le triangle des évocations et des pentacles. - Les combinaisons triangulaires. - Le trident magique de Paracelse. La conjuration des quatre. - Les éléments occultes et leur usage. - Manière de dompter et d'asservir les esprits élémentaires et les génies malfaisant ; Le pentagramme flamboyant. - Usage et consécration du pentagramme. Le médium et le médiateur. - Application de la volonté au grand agent. – Le médium naturel et le médiateur extra-naturel. Le septénaire des talismans. - Cérémonies, vêtements et parfums propres aux sept jours de la semaine. - Confection des sept talismans et consécration des instruments magiques.

Avis aux imprudents. - Précautions à prendre en accomplissant les grandes oeuvres de la science. Le cérémonial des initiés. - Son but et son esprit. La clef de l'occultisme. - Usage de pentacles. - Leurs mystères anciens et modernes. - Fief des obscurités bibliques. - Ezéchiel et saint Jean. La triple chaîne.  Manières de la former. Le grand oeuvre. - Ses procédés et ses secrets. Raymond Lulle et Nicolas Flamel. La nécromancie. - Cérémonial pour la résurrection des morts et la nécromancie Les transmutations. - Moyens pour changer la nature des choses. - L'anneau de Gygès. - Paroles qui opèrent les transmutations Le sabbat des sorciers. - Rites du sabbat et des évo cations particulières. - Le bouc de Mendès et son culte.  Aberrations de Catherine de Médicis et de Gilles de Laval seigneur de Raiz  Les envoûtements et les sorts. - Leurs cérémonies- Manière de s'en défendre.

L'écriture des étoiles. - Divination par les étoiles - Planisphère de Gaffarel. - Comment on peut lire dans le ciel les destinées des hommes et des empires Philtres et magnétisme. - Composition des philtres. - Manière d'influencer les destinées. - Remède et préservatifs Le magistère du soleil. - Usage de la pierre philosophale. - Comment on doit la conserver, la dissoudre par  parties, et la recomposer ensuite La thaumaturgie. - Thérapeutique. - Insufflation chaudes et froides. - Passes avec et sans contact. - Impositions des mains. - Vertus diverses de la salive. - L'huile et le vin. - L'incubation et le massage ?

La science des prophètes. - Cérémonial des opérations divinatoires. - La clavicule de Trithème. – L’avenir probable de l'Europe et du monde Le livre d'Hermès. - Comment toute cette science est contenue dans le livre occulte d'Hermès. - Ancienneté de ce livre. - Travaux de Court de Gébelin et d'Eteilla. Les théraphins des Hébreux suivant Gaffarel. - La clef de Guillaume Postel. - Un livre de saint Martin. - La vraie figure de l'arche d'alliance. - Tarots italiens et allemands. - Tarots chinois. - Une médaille du XVIè  siècle. - Clef universelle du tarot. - Son application aux figures de J'Apocalypse. - Les sept sceaux de la cabale chrétienne. - Conclusion de tout l’ouvrage

Supplément au Rituel

Le Nuctéméron d'Apollonios de Thyane

Le Nuctéméron suivant les Hébreux

De la magie des campagnes et de la sorcellerie des bergers ..

Réponse à quelques questions et à quelques critiques

Classement et explication des figures

 

 

 

Commentaire des lecteurs Chaque personne ayant procédé à la lecture de ce livre pourra, si elle le souhaite, y faire paraître un commentaire ou un résumé en lien avec le massage.

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