Le Mardi 19 septembre 2006 le théâtre du signe lançait un week-end de pratiques théâtrales avec un atelier toute les cinq semaines destinait aux amateurs de théâtre.


Dirigé par Marco BATAILLE-TESTU, il y était dit que l'on pouvait faire appel à plusieurs intervenants :
une danseuse, une chanteuse et un musicien, acrobate, massage...

OBJECTIF

Amener chacun à faire évoluer sa pratique

Le travail sera centré sur l'acteur. Travail physique ouvrant sur les différentes pratiques et méthodes d'entraînement de l'acteur. ²

Cet atelier propose une approche pluridisciplinaire du spectacle. Il pourra déboucher sur la présentation publique d'un résultat de travail.

La source http://www.theatre-du-signe.org/

http://www.theatre-du-signe.org/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il s'agit d'une pièce de Peter Weiss est né en à Nowawes, près de Berlin en 1916. Après avoir fui le régime hitlérien avec ses parents dès 1934. La célébrité internationale de Peter Weiss date de sa première grande pièce : La persécution et l’assassinat de Jean-Paul Marat représentés par le groupe théâtral de l’hospice de Charenton sous la direction de Monsieur de Sade (1964).

 

La présence d'une table de massage a motivé la parution de cette pièce sur le site du CFDRM mais la bain de Marat, la violence qu'elle suscite, ce jeux de corps soulève la question de son ambiguïté et de son accès.

 

Source : http://www.d1belge.com/

 

 

 

 

 

 

 

Le décor figure la salle de bains de l'établissement. Douches et baignoires sur la droite et sur la gauche. Contre le mur du fond une estrade à plusieurs marches, avec des bancs et des tables de massage. A mi - scène, des bancs destinés aux acteurs, aux infirmiers et aux religieuses. Les murs sont carrelés de blanc. Sur les parois latérales, des ouvertures très hautes. Une tringle court sur le front de l'estrade et des deux rangées latérales de baignoires.

Devant l'estrade du fond, un rideau permet de dissimuler les malades à la vue.

Au milieu, sur le devant de la scène, un plan de jeu circulaire.

A droite, un podium avec la baignoire de Marat.

A gauche, un autre podium avec la chaise de Sade.

Dans le coin avant gauche se dresse une tribune pour Coulmier et sa famille.

Dans le coin avant droit une tribune où les musiciens sont en place.

Au fond, sont assis ou couchés les malades sur l’estrade.

Sade procède aux derniers préparatifs avant l'entrée en scène de la troupe des acteurs. Les infirmiers achèvent de donner quelques soins de routine, bains et massages.

A un signal de Sade, les acteurs entrent par une porte latérale, au fond à droite ; en tête, Coulmier et sa famille; des religieuses les escortent. Les malades se lèvent. Le cortège procède avec solennité. La cloche de l’hospice sonne. Marat, enveloppé d'un linge blanc et flanqué de Simone, est conduit vers sa baignoire. Charlotte Corday, dans un état léthargique, est guidé vers un banc par deux religieuses. Duperret, Roux et les quatre chanteurs prennent position, tandis que Coulmier arrive sur le plan de jeu. L'Annonceuse, la bonimenteuse et la commentatrice se tiennent à mi - scène. Sade est près de son siège surélevé.

(A établir à partir d’improvisations)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais c’est aussi d’expériences nouvelles que le public est friand, comme de cette « Box with holes » des Norvégiens de Deep Blue qui offrent dix minutes de massage des mains à des spectateurs ravis de pouvoir se livrer à cette expérience d’interactivité sensitive.

 

Source : http://www.fluctuat.net