On connaît mon attrait pour le sexe comme sujet généraliste et la place de choix que je compte lui offrir au CFDRM en tant qu'objet de recherche à part entière et pourtant l'on constate le peu d'empressement que j'ai à travailler sur son organisation. Probablement parce que le sujet me semble par trop facile et que je lui préfère son avers morbide, non pas pour le spécial attrait que je lui vouerais mais simplement pace que le voile de la mort n'est jamais soulevé par personne. C'est un curiosa que l'on veut voir sous ce voile et non l'absence d'avenir de la mort. Mais, ne sous-estimons pas la faucheuse, son geste s'apparente déjà à celui du massage, Satan c'est de tout temps paré des atours les plus langoureux de la sexualité, pour tromper, certes, mais n'est-ce pas là le but ? Le sexe trop bruyant, trop jovial, trop partout n'est jamais tout-à-fait dénué de tristesse, un désaroit sublime que le diable emporte mais qui l'agace sur le champs lorsqu'il voit résister à sa froideur les tièdes attentions du massage, qui, quoi que l'on fasse, est partout comme l'alpha et omega du vivant. Sodomie, masturbation, doigt dans le cul ou caresses messagères des plus prométeuses amours les mots comme les gestes sont assimilable au massage. Massons le papier virtuel de cette page par l'encre des Termes, Expression salaces, traquons ces licences, touchons-les du bout de nos pupille comme un doigts qui se pervertirait rien qu'en les lisant.