Rare Coffret d'origine en bois aux Saintes huiles avec ses 2 ampoules en Argent massif , surmontées chacune d'une Croix , une ampoule est chiffrée "SC" pour Sanctum chrisma destinée au Saint-Chrême et la seconde chiffrée "OS"pour Olium sanctum destinée à l'huile des catéchumènes et oleum infirmorum pour OI ( reste de cotons dans les ampoules) . Poinçon Minerve 1er Titre (.950) et Poinçons du Maître Orfèvre identifiable .Ensemble rarissime d'époque Mi-XIXeme en très bon état , nettoyage à peaufiner ( ensemble laissé en l'état ) . http://www.patrimoine-de-france.org/mots/mots-archi-0-5331.html
Selon la Bibliothèque Inter-Universitaire de Médecine, Celse préconise, dans son De Medicina, au chapitre De dolore dentium, l'utilisation d'huile en bain de bouche. Sur la page indiquée, le mot huile apparaît 8 fois à des fins médicales.
L'amphore panathénaïque, pansue et reposant sur un pied étroit et court, était remise, remplie d'huile, en récompense aux athlètes vainqueurs des jeux panathénaïques.
Massage sans rien
Massage au talc
Massage aux fruits http://lacasadesofiso.mabulle.com/
Massage aux algues
Massage à la boue
Massage à l'électricité Google Ecrire une histoire de l'électricité
dans le massage (voir la bouteille de Leyde)
Massage à productions internes : sueur, excréments, sperm, urine,
crachat etc
Massage à l'eau, douche etc
Heradosis,
a employé des herbes pour prodiguer des massages.
(source Internet à vérifier)
De l'air
Guillaume du Choul parle des huiles au verso de la page 8 des Bains Romains en commençant par les Guttus. Il cite Pline au Recto de la page 9. Voir aussi Histoire naturelle de Pline où il donne des recettes d'huiles. Celle qui était la plus utilisait des grecs et des Romains était l'huile d'Olive.
Le premier est un geste ancien et traditionnel dans la Bible : c’est
un signe de bénédiction et de consécration. Jésus
l’a repris à son compte et, à lui, suite les apôtres l’ont
utilisé pour transmettre l’Esprit-Saint ou pour confier des fonctions
particulières à un membre de la communauté. En imposant
les mains sur la tête du malade, le prêtre appelle sur la force
de l’Esprit. Les évangélistes disent que lorsque Jésus
guérissait les malades une force venant de Dieu sortait de lui. C’est
cette même force que le prêtre communique au malade lorsqu’il lui
impose les mains « au nom du Seigneur Jésus-Christ». Le second
geste est l’onction d’huile. Nous utilisons l’huile pour assaisonner nos aliments,
pour nous éclairer, pour la toilette, surtout après le bain, car
elle procure bien-être et détente. L’huile est aussi utilisée
pour les massages des athlètes avant les compétitions sportives
pour assouplir leurs muscles et leur donner vigueur. L’huile sert aussi de médicament
sous forme de potion ou d’onguent. Dans l’Ancien Testament l’huile est présente
pour la consécration des rois ou des prophètes dans leur fonction
ou mission ; elle est utilisée pour la consécration des autels
et des objets de culte. Aujourd’hui encore en Israël, l’huile parfumée
est utilisée chez les juifs : la répandre sur un hôte est
une marque d’honneur et de respect.
http://www.leffortcamerounais.info/2005/03/mgr_paul_nyaga_.html
http://www.nouvellescles.com/article.php3?id_article=54
Le Dictionnaire des Antiquités Grecques et
Romaines de Daremberg
et Saglio
http://dagr.univ-tlse2.fr/sdx/dagr/feuilleter.xsp?tome=5&partie=1&numPage=600&nomEntree=UNCIA&vue=texte
Dans les textes ou sur les monuments pondéraux, la marque de l'once est
UNC 591 UNG un globule ou un trait. A l'époque byzantine, le nom de l'once
est abrégé sur les poids, tantôt e, tantôt r, r, r
L'once pondérale ci-contre (fig. 7231), marquée PUA, porte sous
un dais les figures des empereurs Valens, Gratien et Valentinien II. E. BABELON.
vu [BALNEUM, GYMNASIUM] le rôle considérable des onctions d'huile
dans la vie antique [0LEA] ; elles étaient d'usage au sortir du bain
et même après les trois sortes de bain : chaud, tiède et
froid'. Accompagnées de frictions énergiques, elles avaientla
vertu d'assouplir les membres par l'huile et de les fortifier par le massage
[TRACTATOR] ; enfin elles parfumaient du même coup, car l'huile était
généralement aromatisée [UNGUENTUM]. Aussi se pratiquaient-elles
également dans les gymnases et palestres, en un local spécial
dit elaeothesium, inato,) ctov [T. II, p. 1689]. L'employé chargé
de ces fonctions, ALIPTES chez les Grecs, unctor 2 à itorne, ou unetrix,
car ce pouvait être également une femme (fig. 222), frottait souvent
les athlètes, avant la lutte, avec une pommade ]CEROMA] ; les exercices
terminés, il se remettait à la besogne, nettoyait avec le strigile
[sTRIGILIS] les membres poissés par cet onguent, imprégnés
de sueur et de poussière, les nettoyait avec les ingrédients ordinaires,
tjM1,IXTa [LAVATIO], et recommençait les onctions. Il semble d'ailleurs,
d'après nombre de représentations (fig. 743, 3677), que, tant
au bain qu'au gymnase, beaucoup de gens ne dédaignaient pas de se frotter
eux-mêmes : l'îa(zi, pevoç était un type courant de
la statuaire 3. Souvent on le figurait simplement tenant en main le flacon;
tel l'Apollon Philésios du British Museum (fig. 373), dieu de la jeunesse,
donc adonné aux exercices du gymnase 4. Certaines monnaies de Sinope
sont au type d'Apollon ayant un petit flacon suspendu au poignet par un cordon'.
L'onction d'huile ne s'appliquait pas seulement aux personnes, mais aussi, en
certains cas, aux objets. On frottait d'huile et de parfums la stèle
funéraire, véritable représentant du défunt [FuNus,
p. 1381, fig. 3348]. A [tome, par une idée semblable, on oignait de beurre
et on barbouillait de lait la tête de certains dieux protecteurs [STATUA,
p. 1483]. La vzvaictç ou xc(,.-rictç, destinée à
pro téger les statues et leurs couleurs contre les intempéries,
était une véritable unclio faite avec dela cire liquide, que l'on
renouvelait autant qu'il était nécessaire [scULPTURA, p. 1147].
On lavait aussi avec de l'huile et on entretenaiten état de constante
humidité les pièces d'ivoire qui composaient les parties principales
de la statuaire chrys éléphantine, et même les abords de
la statue [EUH, p.448]. Quelque chose de ces usages passa dans la vie religieuse
des chrétiens° : il y avait onction du baptisé, au sortir
de son immersion'. De même que l'huile desbains était parfumée,
l'huile du chrisma se disait uûpov eton la consacrait en présence
des fidèles 9. Dans l'Église primitive d'Orient, les autels étaient
consacrés par effusion de N.upov10. C'est par onction que se fit dès
l'origine la consécration des personnes et des choses au culte divin
". Plus tard seulement s'inaugura l'onction des empereurs nouvellement
couronnés 12. VICTOR CITAPOT.
Ce corps avec lequel tu acceptes de faire une entorse à ton règlement ne contient pas forcément l'amant que tu aimerai y trouver