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1er échange |
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Voici la réponse
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Dans
ce courriel, ce monsieur nous explique avec un cynisme consommé
que ce livre serait trop coûteux pour la restauration et constatant
que les pages étaient détachées, lui est venue
l'idée, non pas de l'offrir par exemple au Conseil de l'Ordre
des médecins qui s'en serait sûrement contenté,
mais d'ne vendre les gravures. Non seulement il reconnaît
que "L'ouvrage est rarissime" mais que l'opération
de restauration serait "inintéressante pour un marchand
comme moi". et voilà comment meurt sous nos yeux
un exemplaire du traité des montre de Ambroise Paré. |
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